Bureaux de vote et emplacement des panneaux électoraux
Vous trouverez ici la liste des bureaux de vote de Nemours
Le saviez-vous ? Une navette sera mise à disposition pour les personnes à mobilité réduite souhaitant aller voter. Pour en bénéficier, il vous suffit de contacter le service Élection au 01 64 78 40 53 en donnant vos nom, prénom, adresse et numéro de téléphone.
Compte tenu de l’évolution démographique, des changements sont intervenus dans la répartition et la localisation des bureaux de vote, institués par arrêté préfectoral 2017 – DRCL – ELEC – 048 du 1er mars 2018.
Vous trouverez ci-dessous la liste des bureaux :
1er bureau : Hôtel de Ville
2e bureau : Gymnase du Groupe scolaire Jacques David – rue Jean Macé
3e bureau : Gymnase du Groupe scolaire Jacques David – rue Jean Macé
4e bureau : Gymnase des Cherelles – avenue Jean Moulin
5e bureau : Gymnase des Cherelles – avenue Jean Moulin
6e bureau : Gymnase des Cherelles – avenue Jean Moulin
7e bureau : Gymnase Roux – avenue Roux (bureau de l’école Aujard transféré définitivement au 7e bureau)
Question-réponse
Comment alerter la police ou la gendarmerie en cas d'urgence ?
Vérifié le 23/12/2021 - Direction de l'information légale et administrative (Première ministre)
En cas d'urgence, et uniquement dans cette situation, il est possible d'alerter la police ou la gendarmerie par appel téléphonique, ou par SMS, si vous êtes dans l'incapacité de parler.
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En cas d'urgence, lorsqu'une intervention rapide est nécessaire, vous pouvez appeler la police-secours. Composez le 17.
Vous pouvez également contacter le 112.
Où s’adresser ?
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Le 114 est le service relais des appels d'urgence si vous êtes dans l'impossibilité de parler au téléphone (sourds, malentendants ...) ou si cela risque de vous mettre en danger.
Où s’adresser ?
Si la situation ne relève pas d'une urgence, composez le numéro de votre commissariat de police ou de votre brigade de gendarmerie.
Où s’adresser ?
Il est important de savoir que le fait de lancer une fausse alerte auprès de la police, en faisant croire à une prise d'otage par exemple, est un délit.
Ce délit peut être puni d'une peine allant jusqu'à 2 ans de prison et 30 000 € d'amende.
Pour en savoir plus
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Ministère chargé de l'intérieur